Au cours de l’été 1989, quatre parachutistes de la base militaire toulousaine de Francazal se lancent dans une folle virée meurtrière. Ils violent et massacrent trois femmes âgées de 12 à 23 ans. Ils tuent encore un garde-chasse. Ils n’auront jamais le moindre remord. Et au procès, en 1991, l’avocat général évoquera même la peine de mort, dix ans après son abolition.